Au Maroc, le chantier de l’implémentation de la finance participative a été lancé depuis une dizaine d’années dénotant l’intérêt que manifestent les pouvoirs publics au développement de cette industrie dans le pays.
Les raisons tiennent, d’une part, à la capacité de la finance participative à mobiliser d’importantes sources de financement pour l’investissement dans les grands projets du pays ; voire dans la région. Et, d’autre part, au fait que la finance participative favoriserait l’inclusion financière en étoffant l’offre de produits et services financiers pour l’épargne et pour le financement adaptés aux besoins spécifiques des ménages et des TPME.
Aujourd’hui, le marché marocain de la finance participative a à son actif un secteur bancaire composé de huit acteurs avec cinq années d’activité ; une émission inaugurale de Sukuk souverains et une industrie takaful qui vient de démarrer, portée par cinq opérateurs.
Fidèle à sa mission d’accompagnement et de développement du marché de la finance participative, le cabinet FINEOPOLIS AL MAALI dresse, à travers ce rapport, le bilan de ces dernières années d’activité sur la base duquel il effectue une analyse approfondie du secteur de la finance participative au Maroc avant de déboucher sur les perspectives de développement.
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